Lecture, cuisine et photographie
Lecture, cuisine et photographie
Un petit article sur le bento et surtout le charaben dans l’émission + vite on est debout + on rit et sur le site de l’émission de la RJB (Radio Jura Bernois). Bento Blog est cité avec un lien pour apprendre à préparer ses propres bentos, mais pas forcément du charaben comme vous le savez bien ! Ici, c’est le goût avant tout.
Sur le site de ELLE, un article traitant de la bentomania sur la blogosphère avec un lien vers Diana de Bento Concept (et non Bentoshop) et Miss Bento. Bento Blog est également cité et mon bento smiley est mis en avant.
L’hiver approche et on commence à faire les stocks : raclette, raclette, fondue et tartiflette ! Non, franchement, on a juste fait le stock de raclette suisse qui est vraiment à tomber ! On se surprend des fois à la manger nature, telle quelle, et ça fond en bouche, à tomber je vous dis !
Et bien entendu, je ne risquais pas de ne pas faire une raclette dans mon bento ! Il faut que j’avoue, on n’a pas d’appareil à raclette. Bien sûr, chez mes parents, il y en a un grand (8 personnes je crois) que j’ai toujours vu trôner sur notre table. Il n’a jamais lâché et pourtant on l’a utilisé très souvent (fans de raclette oblige!).
Une fois le domicile familial quitté pour mes études parisiennes, ça a vraiment été le déchirement… Pas d’appareil à raclette, mais je me suis débrouillée autrement pour en faire. *Attention moment système D étudiant *. J’avais la chance d’avoir un four électrique. Je déposais donc ma raclette dans une poêle et je la mettais au four (pas trop haut le four non plus) avec la queue de la poêle qui dépassait de la porte du four (mini-four oblige…). Et c’est donc avec ce système ultra sophistiqué (attention, prendre un gant ou un torchon pour manipuler la poêle ensuite…) que j’ai pu rassasié mes envies hivernales de raclette !
Maintenant, ce n’est plus la même chose. On est deux, on n’a plus de four électrique (qui permettait de faire fondre rapidement le fromage avec la résistance du haut du four), alors on fait encore autrement (mais on a prévu d’acheter un appareil à raclette, hein quand même…). On fait cuire les pommes de terre à raclette à l’eau, et on les coupe en tranches pour les déposer dans un plat à gratin. On ajoute ensuite le fromage à raclette et hop au four pour une dizaine de minutes, le temps que le fromage fonde. Mais bon, l’appareil à raclette, c’est franchement mieux, y’a pas à dire !
Pour en revenir à nos bento, aujourd’hui c’était donc un bento raclette avec les reste du plat à gratin de la veille. Quelques morceaux de jambon par dessus (si j’avais eu le temps, j’aurais fait des petites fleurs avec des emporte-pièces, mais pas le temps :P). Une tomate en tranche pour faire en sorte d’avoir un peu de légèreté après cette bonne petite raclette suisse et le plat principal est prêt.
Pour le dessert, attention c’était super bon. Une simple compote de pommes réhaussée de sucres parfumés à la clémentine (côté gauche) ou au citron vert (sur la droite). Je vous reparlerai un peu plus tard de ces sucres parfumés, ça faisait un moment que je voulais tester et franchement, je ne sais pas comment j’ai fait pour vivre sans (j’exagère pas du tout !).
Pour compléter ce dessert, quelques petites bouchées de muffins aux pépites de chocolat (de Noël). 2 bonhommes en forme de pain d’épices, un cadeau et une cloche, le compte est bon !
Ca aussi il faudra que je vous en reparle dans un prochain épisode mais je teste encore quelques petites choses avant de vous dévoiler tout ça ;). Mystère, mystère ! Si je continue, je vais avoir une liste interminable de choses dont j’ai envie de vous parler, comme la gastronomie française inscrite au patrimoine de l’Unesco (avec un grand débat actuellement sur Facebook, hein Ema, Livy, Maud… 😉 ) et pleins d’autres choses…
Beaucoup moins d’activité sur Bento Blog même si je traîne souvent dans les parages. J’utilise toujours mes bento jour après jour mais je n’ai pas ou peu le temps de les prendre en photo, c’est la course quotidienne… Il y a des jours, des semaines, des mois où le boulot déborde, où l’on a l’impression que le temps passe comme une furie sans nous laisser faire quoi que ce soit. Dans mon cas, je dois dire que le travail est énorme en ce moment, beaucoup de choses qui s’enchaînent et c’est aussi le cas pour la création de sites internet (attendez-vous à voir beaucoup de nouveautés dans les semaines à venir sur www.lunacatstudio.fr).
En plus, c’est la période de Noël… Oui oui, maintenant Nöel commence en novembre, et même octobre : avec tous les catalogues, dépliants sur le thème qu’on reçoit sur le sujet, j’en ai déjà ras la casquette (je n’imagine même pas les parents qui doivent gérer les demandes de cadeaux en novembre !). J’ai prévu de faire, un peu comme chaque année, des cadeaux gourmands mais je n’ai même pas eu le temps de me plonger dans la recherche de recettes (heureusement Cathy (non pas moi) est là pour nous donner quelques idées de cadeaux gourmands de Noël…). La liste est vraiment impressionnante et il y a plein d’idées sympas. Bref, pour ça aussi, je traîne et je n’ai pas encore eu le temps de prévoir quoi que ce soit !
Mais pour l’instant, restons encore un peu en novembre et en automne (j’aime bien l’automne moi !) avec un bento bien nourrissant. En ce moment, nous sommes en mode mijotage dans notre cuisine, que ce soit couscous, boeuf bourguignon, veau au vin blanc, tout y passe ! On a galéré en faisant nos mijotages dans 2 casseroles mais heureusement ma mère (une fidèle du blog, ben ouais…) nous a offert un couscoussier qui fera aussi office de marmite. De quoi simplifier la bataille en cuisine et oublier les réflexions récurrentes : « tu penses que ça va rentrer dans la casserole ? », « il nous faut une autre casserole ?! », « la casserole est trop petite », « on en a trop fait, ça rentre pas… ». Bref, c’est bête mais c’est la première marmite chez nous (on fera un voeu quand on la baptisera). Pour aujourd’hui, ce sera donc un boeuf bourguignon, pas très esthétique je l’accorde mais délicieusement bon ! A tomber !
Pour accompagner ce boeuf bourguignon, des pâtes savoyardes à la chanterelle. Ma mère les utilisait souvent quand on avait du boeuf bourguignon ou des plats en sauce, ça change des pâtes habituelles et j’aime beaucoup leur forme de trompettes de la mort (il en existe aussi avec ce goût).
En dessert, une clémentine et du clafoutis à l’ananas, super moelleux. La recette arrivera dans les jours à venir et à la maison, on ne s’en lasse pas ! En plus, la recette est super simple, donc c’est validé ;).
En ce moment, je n’ai pas autant de temps qu’avant pour vous montrer mes bento quotidiens, mais je suis toujours dans le coin à espérer pouvoir partager plus de bento !
Avant de parler du bento du jour, je vous signale que Trotine organise un concours de bento (évidemment !) A la ferme. Je ne pourrai pas y participer mais si vous le pouvez, n’hésitez pas !
Comme tous les vendredis, je n’ai vraiment pas envie de cuisiner. Et cette fois-ci, je suis vraiment allée jusqu’au bout de la flemmardise en utilisant une conserve maison de gardianne de taureau. Malheureusement, elle n’est pas de moi, mais de mon boucher qui fait vraiment des conserves maison exquises ! J’avais fait le stock quand j’étais retournée un week-end chez mes parents, et je ne le regrette pas !
Cette gardianne est faite à base de viande de toro de combat. On la dépose gentiment sur le lit de pâtes (cuites en 3 minutes top chrono…) et le plat principal est prêt ! C’est pas beau ça ?
Pour le reste du bento, j’ai encore une fois mis un peu de pizza pour l’entrée (au jambon de mon boucher, ça change vraiment le goût !) et deux petits cakes au yaourt (dont je vous reparlerai un peu plus tard) avec une tranche d’ananas pour combler les trous.
La gardianne de taureau est un plat typiquement camarguais et je vous conseille, si vous en avez l’occasion, de l’accompagner avec du riz (ou plutôt des riz !) de Camargue. Un vrai délice et surtout un vrai voyage en Camargue en aller simple !
Aujourd’hui, je camoufle mon bento pizza sous un air d’Italie. Maline la petite ! J’ai utilisé mon plus grand bento pour pouvoir me délecter de ma pizza. Il y a des jours où j’ai vraiment envie d’une bonne pizza et surtout d’un bon morceau de pizza ! J’ai donc ajouté une mini salade tomate mozzarella pour accompagner ma pizza et donner un air italien à mon repas.
En dessert, toujours des petits shortbreads, bien bons encore une fois (je radote mais j’aime de plus en plus ces shortbreads), un peu de pomme, et un peu d’ananas !
Ce bon petit repas m’a bien suffit pour la journée ! Bonne fin de journée à tous.
Couscous du placard ? Kezako ? Le couscous du placard, c’est un peu comme la paëlla du placard, c’est le plat qu’on fait avec ce qu’on a sous la main ! Pour le couscous, je n’avais pas tous les ingrédients traditionnels pour un « vrai » couscous, alors il a fallu improviser. Et donc utiliser ce que les placards voulaient bien nous proposer (la recette de ce couscous) !
Au niveau viande, j’ai utilisé du veau et de l’agneau. Ce ne sont pas forcément les viandes qui sont habituellement utilisées pour un couscous (surtout le veau à vrai dire) mais j’avais des morceaux prévus pour un ragoût, donc c’est très bien passé. Par contre, c’est au niveau des légumes que ça devenait compliqué : pas de courgette, pas de navet, pas de courge (elle était déjà passée en soupe…). Il a donc vraiment fallu improviser pour se rattraper et tout de même préparer un bon couscous !
L’intérêt du couscous, c’est qu’en le réchauffant, il est encore meilleur ! Il y a des plats comme ça qui gagnent à être mangés pas tout de suite après la confection, car cela laisse aux arômes et aux parfums le temps de diffuser dans la sauce. Réchauffé, c’est vraiment un régal (mon père ne vous dirait pas le contraire ;), c’est toujours le premier à dire que c’est meilleur réchauffé) !
Pour ce couscous, vous pouvez apercevoir les 5 légumes que j’ai pu utiliser pour ce couscous du placard : tomates, pois-chiches, carottes, poivrons et oignons. Pas très habituel pour un couscous, mais ça se mariait très bien avec la viande !
Pour le dessert, des shortbreads de mon bento anglais de lundi et de l’ananas au sirop. Et je continue avec mes pics de la famille canard ! Aujourd’hui, place au bébé qui sort juste de sa coquille.
Halloween, c’est ce week-end. Je ne suis pas fan de cette fête commerciale mais je dois dire que j’ai vu ce mois des bentos sur le thème d’Halloween vraiment réalistes et bien pensés ! De beaux bentos ont été réalisés pour l’occasion et je dois dire que je suis complètement admirative.
Et vous, avez-vous préparé un bento spécial Halloween ? Fêtez-vous Halloween ?
Hi everyone!
L’Angleterre, c’est un pays où je n’ai jamais posé les pieds (juste un de plus me direz-vous) ! L’Angleterre, pour moi, c’est d’abord la langue anglaise. J’aime beaucoup l’anglais et c’est le cas depuis mes premières leçons à l’école. Autant l’espagnol je n’ai jamais vraiment accroché (et pourtant, ce sont une partie de mes origines), autant l’anglais m’a toujours fasciné. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai toujours eu l’impression qu’une chose dite en anglais sonnait toujours mieux qu’en français. Strange, isn’t it?
Que ce soit au niveau de la musique ou de la littérature, j’ai toujours préféré l’anglais. Un texte en français me semble toujours plus fade, moins évocateur, comme si l’anglais, que je maîtrise évidemment moins bien que le français, m’ouvrait une fenêtre sur le rêve beaucoup plus facilement.
Je me souviens encore de mon premier livre en anglais, j’avais 13 ans. On l’avait acheté à la Fnac, du côté des romans en anglais (il n’y en avait jamais des masses…). J’avais adoré la couverture du livre, une petite fille chinoise sur une vieille photo, et un paysage de Chine : Startling Moon de Liu Hong.
320 pages, j’avais peur de rien à 13 ans ! Mais je ne sais pas, c’était ce livre que je voulais : un livre qui retrace l’enfance et l’adolescence d’une jeune fille chinoise, Taotao. Je ne me souviens pas vraiment de ce que j’y avais lu, mais juste que j’étais avide de nouveaux mots anglais. Je le lisais crayon en main, soulignant tous les nouveaux mots, alors que je ne comprenais pas le sens de toutes les phrases (à 13 ans, j’étais pas non plus bilingue, loin de là…). Déjà, dès le titre, un nouveau mot pour moi : Startling, surprenante.
Maintenant, l’anglais est devenu un outil de travail, dans un laboratoire multiculturel, avec un directeur de thèse anglais (tiens, ça tombe bien). Toutes les publications scientifiques sont en anglais, c’est donc indispensable de maîtriser un minimum cette langue. Et pour moi, c’est un plaisir, tant mieux !
Bon par contre, niveau cuisine, je dois dire que ce pays ne m’a jamais attiré… Elle a assez mauvaise réputation et il faut dire que les anglais sont beaucoup plus intéressés par la cuisine française (French baguette au hasard). Cependant, je dois dire que j’ai découvert, il y a déjà quelques années, une « nouvelle » cuisine anglaise avec ces « nouveaux » chefs anglais comme Jamie Oliver ou Nigella Lawson. Je les ai découvert sur Cuisine TV (grands moments de télévision avec ma mère !), quand j’habitais encore chez mes parents (au lycée donc, il y a au moins 5 ans) et j’avoue avoir une préférence pour la cuisine de Jamie Oliver. Je me souviens que j’aimais beaucoup la simplicité dont il faisait preuve dans l’exécution de ses plats, surtout que la série était mise en scène pour que ça fasse « comme à la maison » : une fois il recevait ses amis pour un apéro, une fois c’était pour un barbecue. Des moments que l’on peut tous vivre et qui me semblent donc plus proches de nous.
Pour autant, je n’ai jamais acheté de livre de Jamie Oliver. A vrai dire, je n’ai pas beaucoup de livres de cuisine tout court ! Le seul livre de cuisine que j’ai qui parle de l’Angleterre, c’est le petit livre de Pascale Weeks qui traite des muffins, cookies et autres petits desserts anglo-saxons.
La cuisine a donc été un « gros » problème pour cette escale anglaise ! Il va falloir beaucoup d’imagination pour se dire que ce bento se rapproche de l’Angleterre. Alors c’est parti !
Pour le plat principal, un bun’s plus américain qu’anglais. Parce que oui, il existe le hot cross bun’s anglais, mais c’est du sucré. Disons que j’ai utilisé la base de pain brioché pour faire ce bun’s fourré à la viande hachée et mozzarella. Quelques petits légumes (carotte, tomate, maïs) sur l’étage du haut finissent le plat principal (je pense que le bun’s va bien me caler !). Je vous donnerai la recette dans les jours à venir ;).
Pour le plat, j’avoue que j’aurais bien fait un oeuf à la coque, mais dans le bento j’ai pas osé :P. Après, j’aurais pu tenter d’autres choses mais je n’étais pas assez aventurière hier !
Du côté du dessert, j’ai eu beaucoup plus de mal, non pas pour trouver quelque chose qui me plairait, mais savoir ce que j’allais faire ! Le petit livre de Pascale Weeks est une petite mine d’or et j’ai beaucoup hésité. J’ai donc fini par faire des shortbreads, mais en fait ce n’est pas du tout anglais à la base, c’est écossais (hi hi !). Ce sont simplement des petis sablés, et j’ai là utilisé la recette de Jamie Oliver du livre « Cook with Jamie ». Selon lui, ce sont les meilleurs shortbreads du monde, j’ai beaucoup aimé. Mon homme a lui moins aimé (il est difficile quand il s’y met 😉 !). Mais je dois dire que j’aime aussi beaucoup, peut-être un peu plus, les sablés que j’ai l’habitude de faire…
Et pour me rattraper d’avoir fait un bento 100% hors-sujet (y’a eu un blocage psychologique je crois :P), un apple crumble vite fait bien fait avec comme pâte à crumble les shortbreads… Je vous dis, rattrapage !
Mais aujourd’hui, c’est aussi un grand jour pour moi et Virginie. Je vous en avais parlé vendredi, le blog est enfin en ligne à l’adresse www.chocoladdict.fr : Chroniques d’une Chocoladdict. J’espère que vous aimerez !
Et une dernière chose, n’oubliez pas de voter pour moi aux GBA : Vote for Bento Blog!
En espérant que la prochaine escale bento me réussisse mieux niveau cuisine, à demain ! See you!
Encore une fois, pour le troisième jour d’affilée, des pâtes dans mon bento. Cette fois-ci, j’ai carrément mélangé les spaghetti avec les ravioli. J’ai ensuite ajouté de la sauce bolognaise (avec la sauce tomate !) sur le tout et j’ai commencé à m’amuser avec les emporte-pièces que j’ai reçus dans ma dernière commande (je suis toujours la dernière à acheter ce type de produits…).
Vous avez donc les 4 types de fleurs que vous pouvez réaliser avec ces emporte-pièces. Vu qu’on entre doucement (mais sûrement) dans l’hiver, je commence à sortir ma raclette (le fromage hein…) et j’ai donc utilisé une tranche de raclette pour découper les fleurs. Le reste du fromage est tout simplement de la mozzarella. Un peu de basilic, un peu de paprika sur les fleurs (quand je vous dis que je m’amuse…) et c’est ok pour le plat principal.
Pour le dessert, il reste bien évidemment du clafoutis et j’ai comblé les trous avec des bâtonnets de pommes. C’est le vendredi, faut pas trop m’en demander je crois :P. La semaine se termine et ça va faire du bien pour beaucoup de monde !
En plus, lundi, vous découvrirez un nouveau blog, Chroniques d’une Chocoladdict, que j’ai eu le plaisir de créer et d’héberger pour Virginie qui est encore pour quelques jours (tic tac tic tac) sur la plate-forme Canalblog. Je dois dire que je n’ai découvert son blog qu’au moment où elle m’a contacté pour la migration de son blog, et il est super ! Allez lui faire un petit coucou de ma part, j’adore son ton et sa créativité dans ses articles, un vrai moment de détente ;).
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