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Canon EOS 1000D : le test

En même temps que le test du Canon EOS 500D, j’ai pu tester le Canon 1000D, que je compare toujours à mon appareil photo actuel, le Canon 400D. Et finalement, ce Canon 1000D, qui est l’entrée de gamme de la gamme réflex de Canon, m’a agréablement surprise ! Voyez par vous-mêmes.

PinitCanon 1000D test

Sur le papier, le 1000D (à gauche) m’a toujours paru assez comparable au 400D (à droite). Par exemple, leurs résolutions sont similaires : 10 MP. En tant qu’entrée de gamme, le Canon 1000D remplit largement sa tâche et pourra se révéler un très bon compagnon pour les débutants voulant acquérir un réflex.

Canon EOS 1000D : le prix

J’aime bien commencer par cet aspect financier, parce que je pense qu’en tant qu’amateur, il est important d’avoir un budget en tête sans se laisser « emporter » par les envies que le marketing crée ou essaie de créer dès que possible !

Le 1000D, en tant que réflex d’entrée de gamme, est disponible à un prix mini : à l’heure actuelle, on peut le trouver à 350 € nu. Ce mois de mars voit l’arrivée du successeur du Canon 1000D, le 1100D au prix bien évidemment supérieur, à savoir aux environs de 450€ nu.



Avec le 500D, j’ai, je l’espère, réussi à vous montrer que les dernières évolutions ne sont pas toujours indispensables et qu’un modèle plus vieux peut largement convenir pour des années de belle photographie ! On verra si ce sera le cas avec le 1100D et si les évolutions apportées par cet appareil en valent vraiment le coup (il affiche par exemple 12MP au lieu de 10MP pour le 1000D)…

Soit dit en passant, vu le prix actuel du 1100D, je pense qu’il est plus judicieux d’acheter un 500D (moi je dis ça, je dis rien…). Espérons que la sortie du 1100D fasse rapidement baisser le prix du 1000D, c’est toujours ça le plus intéressant finalement.

 

Canon EOS 1000D : prise en main

Comme le 500D, le 1000D est plus léger (451 g) que mon appareil photo actuel (510g). Il est aussi plus agréable à la prise en main, avec cette poignée et ce bouton de déclenchement plus ergonomiques.

PinitCanon 1000D test

Là où l’on voit que l’on a un entrée de gamme, c’est au niveau du grip. C’est du plastique « pur », on perd la texture vraiment sécurisante du Canon 500D qui permet une prise en main vraiment nickel. On retrouve en fait le type de grip du 400D, qui pourra devenir glissant dans certains cas. Pour autant, je n’ai jamais eu de réel problème avec le grip du 400D, c’est juste un peu moins agréable à la longue qu’avec un 500D. Alors avec un allègement de 100g pour le 1000D par rapport au 400D, je peux vous assurer que vous ne devriez pas avoir de problème particulier de tenue.

PinitCanon 1000D test

On retrouve bien évidemment tous les modes de prise de vue habituels : les automatiques selon la situation, la priorité à la vitesse (Tv), la priorité à l’ouverture (Av) et le mode manuel. Pour les boutons de réglage, je ne suis pas du tout perdue (en tout cas beaucoup moins qu’avec le 500D) car leur mise en place est assez similaire à celle du 400D. J’ai eu plus de mal à m’adapter au 500D par exemple.

PinitCanon 1000D test
L’écran LCD mesure 2,5″, alors que celui du 500D est de 3″. Et enfin, l’écran une fois allumé, on y retrouve toujours les informations importantes : ISO, temps d’exposition et nombre d’ouverture.

PinitCanon 1000D test

Notez un détail que j’avais omis pour le Canon 500D : le retardateur. Un détail, certes, mais un avantage considérable pour moi. En-dessous de AV, vous voyez le chiffre 2 à droite du chronomètre. C’est le retardateur à 2 secondes. Sur le 400D, le seul retardateur disponible est de 10 secondes, un standard me direz-vous. Mais quand on fait de la photographie culinaire par exemple, on peut préférer que le déclenchement se fasse automatiquement sur le trépied. Si l’on a une télécommande, il n’y a pas de problème. Sinon, on utilise le retardateur, comme je le fait souvent. 10 secondes, ça paraît long à force. Avec cette fonction de retardateur 2 secondes, tout va plus vite. Comme je vous disais, c’est un détail, mais j’aime beaucoup cette évolution.

Le 500D et le 1000D vous donnent aussi la possibilité de photographier avec retardateur pour 2 à 10 photos en continu. C’est une fonctionnalité sympa pour les photos de groupe par exemple : au lieu de devoir revenir à chaque fois pour relancer le retardateur, vous lui dites de faire 10 photos en continu avec 10 ou 2 secondes d’intervalle entre chacune et hop, il y aura bien une photo potable dans la série ! Ce sont des petits détails, mais qui peuvent s’avérer intéressants pour des situations pratiques comme celle-ci.

 

Canon EOS 1000D : vitesse de déclenchement

Ici, on va parler du nombre maximum de photos que le Canon 1000D peut faire en une seconde. Si vous photographiez en jpg, le Canon 1000D est capable de prendre 3 photos par seconde. En RAW (format plus volumineux), il ne pourra faire que 1.5 photos par seconde. Autant vous dire que si vous souhaitez décomposer un mouvement sportif, il vaut mieux passer en jpg. Du point de vue de la vitesse de déclenchement, il n’y a pas de réelle amélioration avec la sortie du 1100D : il affiche 3 photos par seconde en jpg et 2 en RAW.

Soit dit en passant, le Canon 400D, que j’utilise pour photographier le football américain, est capable de faire 3 images par seconde (en jpg et RAW). C’est donc assez équivalent et convient totalement à un usage ponctuel pour le sport.

En comparaison, le 500D est quant à lui capable de faire 3.4 images par seconde, que ce soit en jpg ou en RAW. La différence n’est donc pas si énorme que ça. Dernière comparaison avec l’appareil expert de Canon qui a la cadence de déclenchement la plus haute, à savoir le 1D Mark IV, on atteint 10 images par seconde en jpg ou RAW !

 

Canon EOS 1000D : qualité d’image

La résolution du Canon 1000D est de 10 MP. Le capteur est semblable à celui du Canon 400D et donne de très jolies photos. Les couleurs sont bien retranscrites, et j’ai été agréablement surprise du résultat des tests ISO. Il faut le dire, j’étais assez méfiante car le 1000D est un entrée de gamme. On se dit toujours que si c’est moins cher, c’est de moins bonne qualité ! Et bien, détrompez-vous, la qualité d’image est très bonne jusqu’à ISO 800. Du bruit apparaît à ISO 1600 et je regrette finalement qu’il n’y ait pas d’ISO 3200, car les images resteraient sûrement potables pour des conditions limites (ce n’est pas sans me rappeler les limites que j’ai eues avec mon 400D lors du match en nocturne).

PinitCanon 1000D iso

 

Canon EOS 1000D : en pratique, les images

Voici, en vrac, quelques clichés pris avec le 1000D muni de l’objectif 18-135 mm dont je vous reparlerai rapidement.

PinitCanon 1000D test

PinitCanon 1000D test

 

PinitCanon 1000D test

PinitCanon 1000D test

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Vous connaissiez déjà ces chaussures, et je peux vous dire que sur les photos ci-dessus, je n’ai pas touché à la saturation des couleurs ! C’est « brut ». Super, non ?

 

Canon EOS 1000D : en conclusion

Comme je l’écrivais au tout début, j’ai été agréablement surprise par cet appareil photo. Il me fait vraiment penser au 400D par la plupart de ces caractéristiques, mais je trouve que les couleurs sont mieux retranscrites et que le bruit pendant la montée en ISO est mieux gérée. Si vous souhaitez vous achetez votre premier réflex, que vous souhaitez apprendre la photographie sans vous ruinez (il faut aussi penser aux objectifs à mettre sur le réflex…), je vous conseille plus que vivement de lâcher votre dévolu sur ce réflex qui a un rapport qualité-prix vraiment sympa.

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Canon EOS 500D : le test

Début février, j’ai eu la chance de pouvoir tester le Canon EOS 500D et le Canon 1000D pendant une petite semaine grâce à Canon Suisse. J’ai choisi de tester ces deux modèles pour une simple et bonne raison : ce sont deux appareils photo numériques réflex de chez Canon que je conseillerais, selon son budget bien évidemment.

PinitCanon EOS 500D

Dans cet article, je vais parler du Canon EOS 500D. Par rapport à mon appareil photo actuel, le 400D, le 500D est en fait son petit-fils : après le 400D, il y a eu le 450D puis le 500D, sorti en 2009. Le 500D n’est pas le dernier de la lignée, vous connaissez peut-être son successeur le 550D et bientôt, nous pourrons voir le 600D (actuellement en pré-commande mais devrait être disponible en mars 2011). Chaque nouvelle génération d’appareil photo amène son lot de nouveautés marketing mais il ne faut pas s’y tromper, ce n’est pas parce qu’un nouvel appareil sort qu’on y gagne beaucoup !

Canon EOS 500D : son prix

Parlons tout de suite sous sous : le 500D est à un peu moins de 500€ nu, c’est-à-dire sans aucun objectif. Pour comparaison, le 550D, la génération suivante, est au prix de 600€ nu. On peut se dire que 100€, ce n’est pas tant que ça, mais finalement, on peut s’offrir l’objectif 50 mm f/1.8 avec cette seule différence ;). A vous de voir si la différence de prix en vaut vraiment le coup !

Et je ne parle même pas du 600D qui est déjà à 800€ !

Canon EOS 500D : prise en main

Je ne vais pas vous faire un test très technique avec beaucoup de blabla, parce qu’avant tout, l’important, ce sont la prise en main, le confort et bien sûr la qualité des photos ! Niveau prise en main, le poids est vraiment agréable : le 500D pèse 450 g alors que le 400D pèse 510 g. On dirait que ce n’est rien, mais je peux vous dire qu’on voit la différence !

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Le boîtier me semble plus ergonomique : le grip sur la poignée est plus efficace, et le bouton de déclenchement me semble plus naturel : voyez vous-mêmes ces différences ci-dessous avec le 400D !

Pinit

Autre différence, les boutons : le bouton de changement d’ISO est facilement accessible près du bouton de déclenchement, ce qui est une vraie nouveauté par rapport au 400D. C’est très agréable de l’avoir positionné près du bouton de déclenchement, on peut très facilement modifier l’ISO, avec le doigt qui déclenche la photo. Je dois avouer que j’ai beaucoup aimé !

PinitCanon EOS 500D

Sur la photo ci-dessus, on voit bien l’ajout du bouton d’ISO entre la molette des modes et le bouton de déclenchement (à gauche, le 400D, à droite le 500D). Les autres boutons à l’arrière de l’appareil photo ont aussi été remaniés pour laisser plus de place à l’écran. Et quel écran, pour moi qui galère pour voir la « vraie » exposition de mes prises de vue. La résolution de l’écran LCD est vraiment magnifique et permet de voir cette « véritable » exposition sans problème et c’est un vrai plaisir.

PinitCanon EOS 500D

On retrouve également le grip pour le pouce entre les boutons, encore une fois plus efficace que celui du 400D qui reste très « lisse ».

Allumons l’appareil photo et regardons l’écran :

PinitCanon EOS 500D

Rien de spécial à dire de ce côté-là, toutes les informations y sont : le mode choisi en gros à gauche, l’ouverture de la lentille (f5.6), l’ISO (800) et la compensation d’exposition (ici je suis à +2/3 EV). Le petit soleil désigne la balance des blancs.

Canon EOS 500D : le test de l’ISO

Je ne pouvais pas ne pas faire ce test, c’est un indispensable et je dois vous dire que j’ai été très agréablement surprise ! Vous vous souvenez peut-être du test de l’ISO sur mon 400D, qui montrait vraiment le niveau de bruit énorme à ISO 1600.

Le 500D monte jusqu’à ISO 3200, mais il peut être poussé jusqu’à ISO 12 800 (qui amènera beaucoup de bruit mais qui peut vous sauver la vie dans des situations extrêmes, comme un match de football américain nocturne… exemple au hasard ;)).

PinitCanon EOS 500D

On voit un léger bruit à ISO 800, qui est facilement éliminé en post-production. C’est seulement à ISO 3200 qu’on aura plus de mal à éliminer le bruit sans perdre en qualité, mais je vous rappelle que les vignettes ci-dessus sont à 100% de la taille de la photo !

Canon EOS 500D : le test en photos

Avec ses 15 MP, cet appareil photo me semble amplement suffisant pour avoir des clichés de qualité ! Le 400D, avec ses 10 MP, est loin derrière, mais surtout, c’est la qualité de prise de vue qui change. En effet, le 500D restitue les couleurs et les contrastes de manière beaucoup plus fidèle que le 400D, ce qui permet de limiter le travail de post-production au minimum.

Voici donc quelques clichés que j’ai pu faire avec cet appareil photo. Elles sont retouchées, mais beaucoup moins qu’avec mon 400D : j’ai pu me limiter à des retouches vraiment mineures. Vous vous souvenez de mes photos pour les thèmes Ombres et Texture du projet photo 52 ? Ce sont déjà des photos prises avec le 500D ;).

PinitCanon EOS 500D

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PinitCanon EOS 500D

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Canon EOS 500D : c’est aussi de la vidéo, mais…

Et oui, cet appareil photo est aussi doté d’une fonction vidéo, ce qui peut se révéler intéressant dans certaines situations. Cependant, le seul problème de cet appareil photo est le bruit de l’autofocus pendant l’enregistrement de la vidéo. Si vous faites des vidéos pour ne pas avoir le son, ça ne pose aucun problème, sinon c’est très gênant !

 

Pour la vidéo, je dois avouer qu’il faut plutôt se diriger vers le successeur du 500D, qui gère beaucoup mieux ce problème de bruit pendant l’autofocus. En fait, n’achetez ce Canon EOS 500D seulement si vous souhaitez principalement faire de la photo.

 

En conclusion…

Cet appareil photo est vraiment un petit bijou si vous voulez vous faire plaisir et que vous possédez le budget. Si vous pensez utiliser souvent la fonction vidéo, je vous conseille plutôt le 550D. Avec le 500D, vous pourrez faire des photos vraiment sympas dans toutes les conditions de lumière, même la nuit sans avoir un bruit énorme qui vous limiterait.

Pour autant, j’ai aussi fait le test du Canon EOS 1000D, qui m’a également surprise au niveau de ses performances pour un appareil photo numérique d’entrée de gamme !

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Faire ses chips maison avec le chips maker

Dans la série des accessoires reçus dernièrement, je voudrais le Chips Maker ! On en a beaucoup parlé, je le voulais depuis un moment et j’ai craqué. Le chips maker permet de faire ses chips maison au micro-ondes. Ben oui, c’est ce qui est écrit sur la boîte… Enfin, c’est en japonais mais bon bref !

PinitFaire ses chips maison chips maker

Comment faire ses chips maison ?

Dans cette boîte, vous trouverez tous les accessoires nécessaires pour faire vos propres chips. Une mandoline est incluse pour couper votre pomme de terre en fines rondelles. Ca marche super bien, aucun effort particulier à fournir.

PinitFaire ses chips maison chips maker

Il suffit de poser la mandoline (partie orange) sur le bol. Vous piquez votre pomme de terre avec l’accessoire de droite qui vous permettra de tenir la pomme de terre sans y mettre les doigts (et en perdre un au passage…). Une fois la pomme de terre coupée en rondelles, on dispose celles-ci sur le portoir (à gauche). Avec une pomme de terre, le portoir est plein !

PinitFaire ses chips maison chips maker

Et hop, au micro-ondes. Apparemment, c’est 3 ou 4 minutes à pleine puissance. J’ai préféré le faire à moyenne puissance pendant 7 minutes.

PinitFaire ses chips maison chips maker

Et voici le résultat ! Les chips sont croquantes, mais j’ai un petit problème. Ben oui, le goût. J’ai mis les rondelles de pommes de terre nature et je dois dire qu’un peu de sel ne serait pas de refus.

Pour mon deuxième essai, j’ai ajouté dans le bol une demi cuillère à soupe d’huile (vraiment très peu, quelques gouttes suffisent) et un peu de sel. En tripatouillant les rondelles dans l’huile et le sel, on arrive facilement à répartir le sel. Passage au micro-ondes, 7 minutes top chrono également.

PinitFaire ses chips maison chips maker

Et là, le visuel est toujours bien et le goût est parfait ! Des chips croquantes, qui ont le goût de pomme de terre et un peu de sel ;). J’adore ce chips maker, c’est super rapide et bon.

Je vais maintenant le tester avec d’autres légumes et fruits et je vous en reparlerai sûrement !

Où acheter le chips maker pour réaliser ses chips maison ?

Sur le net principalement : je l’ai acheté chez JBOX, mais vous pouvez également le trouver chez Bento&co et Komikku.

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Mon matériel photo : le "nouveau"…

Dans un article précédent, je vous présentais les différents types d’appareils photo numériques mais aussi mon ancien matériel, à savoir un appareil photo bridge. Je suis maintenant l’heureuse babysitter d’un Canon EOS 400D, ou dans sa version américaine et canadienne le Rebel XTi. Cela fait un petit moment que je m’habitue à la bête, qui me change tout de même pas mal de mon Kodak Z812.

PinitAppareil photo numérique Canon EOS 400D

Au niveau de la résolution, on passe de 8 MP à 10 MP. Pas beaucoup me direz-vous, mais il faut savoir que la résolution ne fait pas tout. Outre ce gain de 2 MP, le Canon EOS 400D me donne une bien meilleure qualité de photo dans des conditions limites (faible lumière, photo en mouvement…). La rapidité du déclencheur est bien meilleure : allez prendre en photo un départ de coureurs ou des actions de sport et vous verrez la différence ! Le bridge est très lent au déclenchement et il me fallait toujours « précéder » l’action. On s’en passe largement avec un reflex et on peut « enfin » faire attention à la composition et non pas au déclenchement…

Ce sont pleins d’améliorations qui me permettent maintenant de vraiment entrer dans le monde de la photographie. Le problème majeur d’un bridge est l’incapacité à changer la lentille. Je trouve cependant logique que ce soit comme ça pour un bridge. C’est un produit intermédiaire entre le compact et le reflex, il n’est pas destiné à égaler les performances d’un reflex et ne doit donc pas nécessiter un investissement coûteux.

Le passage au reflex me permet donc maintenant de changer la lentille et de tester différents types de photographies. Et oui, il n’y a pas qu’une photographie mais plusieurs : paysages, portraits, macro,… Chaque type de photographie sera de bien meilleure qualité avec un certain type de lentille. Par exemple, pour les paysages, un objectif grand-angle est le must pour avoir de belles photos. Par contre, pour les photos d’animaux en pleine nature ou le sport, on préfèrera un téléobjectif qui permet de bien zoomer sur le sujet. Pour la macro, des objectifs macro, etc…Il faut tout de même ne pas oublier l’investissement que représente un objectif (et un appareil photo…) et il vaut mieux être sûr que l’objectif nous servira avant de se lancer dans un achat !

Je vais vous détailler mes derniers achats et vous expliquer leur importance pour mes photos.

L’appareil photo : Canon EOS 400D

Je me répète mais ce n’est pas un achat : c’est l’ancien appareil photo de mon frère qui a bien voulu me le prêter temporairement. Je fais donc la babysitter de ce Canon EOS 400D. Cet appareil photo n’est plus en vente (neuf). A l’heure actuelle, je dirais qu’on peut le comparer aux niveaux de ses compétences (résolution,…) à l’appareil photo d’entrée de gamme de Canon, à savoir le Canon EOS 1000D.

Mais il faut savoir que les Canon EOS 500D et 550D sont les appareils photo dérivés du 400D. Après le 400D, il y a eu le 450D, et maintenant les nouvelles générations, à savoir le 500D et le 550D récemment avec la fonction vidéo HD intégrée. Ces deux appareils photo sont actuellement les produits phares de la moyenne gamme reflex chez Canon.


Avec le boîtier du 400D, j’ai eu l’objectif de base EF-S 18-55 mm, mais aussi un 75-300 mm. Le 75-300 mm est un bon téléobjectif d’entrée de gamme abordable qui permet de s’initier aux joies d’un téléobjectif !

Bien entendu, les cartes mémoire du 400D sont des Compact Flash alors que j’avais une carte SD pour mon bridge. Petit détail à prévoir si vous souhaitez faire l’acquisition d’un nouvel appareil photo !

La carte Compact Flash

Mon frère m’avait prêté avec l’appareil une carte Compact Flash de 2 Go. Lors de ma première sortie, j’ai complètement saturé la carte, sans pour autant être en mode RAW (plus gros fichier qu’un JPG, un fichier RAW contient les données brutes de la photo). J’ai donc mis dans un coin de ma tête qu’il me serait indispensable d’acheter une carte de plus grande capacité.
Je me suis donc jetée sur une carte de 8 Go mais on peut être plus raisonnable et opter pour une 4 Go. Un conseil supplémentaire, faites bien attention à la vitesse d’écriture que la carte peut supporter. Une carte de faible vitesse sera compliquée à utiliser en mode rafale… La vitesse de ma carte est par exemple de 60 Mb/s.

Une lentille indispensable : objectif fixe 50 mm

Pour faire simple, on peut décomposer les objectifs en 2 catégories : les zooms et les fixes. Les zooms permettent d’atteindre plusieurs longueurs focales avec un seul objectif, c’est pourquoi on a toujours un intervalle de longueurs focales : 18-55 mm par exemple. Les objectifs fixes ne permettent d’avoir qu’une seule longueur focale : 50 mm par exemple. Dans ce cas, si vous voulez zoomer, il faut vous avancer ! C’est ce qu’on pourrait appeler le zoom à pied !
Quel est l’intérêt d’une lentille fixe alors ? Et bien tout simplement la qualité de la photo. Dans un zoom, tout doit bouger et on perd souvent un peu de qualité à cause de cela. Ce ne sera pas le cas pour une lentille fixe. Mais impossible de se balader avec des centaines de lentilles fixes ! Il faut donc peser le pour et le contre et choisir en conséquence.
L’objectif fixe 50 mm est très apprécié pour les portraits et la photographie culinaire. C’est la lentille que j’utilise pour photographier mes bentos et je peux vous dire que je l’adore ! En plus, c’est la lentille la moins chère (en f/1.8) et ce 50 mm s’avère très rentable pour moi. Une version en f/1.4 existe aussi et permet de photographier plus facilement dans des conditions limites mais est beaucoup plus chère. Je dirais que le f/1.4 est un investissement pour les photographes qui sont sûrs de l’utiliser souvent !




Vous pouvez voir des photos réalisées au Muséum d’Histoire Naturelle de Toulouse avec cette lentille.

La macro pour les « pauvres » : les bagues allonge

J’aime la macro, j’adore ça. Mais je n’ai franchement pas le budget pour m’acheter un vrai objectif macro qui déchire : au hasard, le 100 mm f/2.8 de Canon ci-dessous…


…ou encore moins son grand frère de luxe (la lettre L dans le titre, c’est pour Luxe !) :

C’est pourquoi on revient au système D, ou plutot on cherche d’autres solutions qui permettent de faire de la macro sans y laisser un bras ! Dans cette catégorie, j’appelle les bagues allonge. Je ne vais pas vous faire des rappels sur l’optique et les appareils photo, mais juste vous dire qu’en allongeant la distance entre l’objectif et le capteur, vous pourrez faire de la macro. Ces bagues allonge vous permettent de garder l’autofocus, contrairement à d’autres bagues allonge moins chères.


L’inconvénient des bagues allonge par rapport à un objectif macro est la perte de luminosité. Il faut donc toujours compenser par une augmentation en ISO ou par l’utilisation d’éclairage (lumière externe, flash,…). Cela est totalement possible en cuisine, mais peut-être moins à l’extérieur s’il ne fait pas beau. C’est tout de même un très bon compromis pour débuter en macrophotographie.

Le trépied : mon ami pour les paysages et le soir

Avoir un trépied pour faire des panoramas ou des photos de nuit, c’est extra. C’est aussi un atout incontestable pour mes photos de bento. En ce moment, je fais mes photos la nuit, vers 10 heures du soir. Il faut faire sans la lumière du jour mais je n’ai pas d’éclairage spécial studio ou les choses dans ce genre. Je pose donc toujours mon bento sur la table, et j’utilise mon appareil photo en exposition longue pour compenser la perte de luminosité. Et pour faire ça, un trépied est indispensable. Impossible de rester immobile pendant 1 seconde sans trépied, et c’est donc pour moi un outil indispensable.
Il existe beaucoup de trépieds et il existe même des monopieds. Je dois avouer que je ne me suis pas particulièrement dirigée vers les moins chers pour deux raisons principales :

  • la taille du trépied : je ne voulais absolument pas devoir me balader le trépied à la main en randonnée, alors j’ai opté pour un trépied compact. Par taille, je pense aussi à la hauteur que peut atteindre le trépied. Si la hauteur maximale est d’un mètre et que votre famille et vos amis sont grands, les photos de groupe risquent d’être moyennes !
  • la solidité du trépied : si vous tenez à votre appareil photo, mieux vaut un trépied solide. Si vous lésinez sur la qualité de la stabilité du trépied, c’est votre appareil qui tombera à la première rafale de vent et tout ça à cause d’un trépied moins cher…

Avec ces deux points en tête, j’ai craqué pour un trépied Manfrotto (très bonne marque) en aluminium (plus résistant que le plastique, au hasard…) :


J’en suis très heureuse. Il y a un niveau à bulles pour vérifier que l’appareil est bien à l’horizontal, mais aussi une tête 3D sympa à manipuler, et une attache rapide très pratique. En plus, Manfrotto vous garantit ce trépied pendant 3 ans, ce qui est quand même pas mal !

On arrive enfin au terme de mes achats photographiques du moment. Je vous assure que ça me fait une belle panoplie pour faire de belles photos et qui me permettent d’améliorer la qualité de mes photos de bentos, ce qui, je l’espère, vous fait plaisir ! J’en profite pour remercier les annonceurs Bento&co et Japonmania qui ont contribué à l’achat de ce matériel et ainsi à l’amélioration de mon blog !

Pour retrouver tous les articles de photographie présentés dans ce post, vous pouvez faire un tour sur ma boutique d’Amazon et ainsi découvrir des descriptions plus détaillées !

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Mon matériel photo : l’ancien…

Depuis peu, j’ai un nouvel appareil photo, ou plutôt mon frère me prête son ancien appareil photo ! J’en ai bien profité pendant 2 mois et je vais sûrement maintenant l’utiliser pour photographier mes bentos quotidiens. Avant de vous dévoiler la bête, je vais vous révéler ce avec quoi je faisais mes photos jusqu’ici.

On a souvent la mauvaise habitude de dire qu’un meilleur appareil photo fera de meilleures photos ! C’est le cas quand on passe d’un appareil photo de basse résolution à quelque chose de plus évolué. Mais plus on monte en gamme, et plus la différence de prix entre 2 appareils devient inintéressante par rapport au gain de résolution. Le marketing des entreprises de photo nous ont bien mis ça dans la tête, mais je peux vous dire que les plus belles photos ne sont pas toujours faites avec des appareils photo haut de gamme ! Bref, je m’éloigne de mon sujet… Mais avant de vous en dire plus sur mon appareil photo, un petit rappel sur les différentes catégories d’appareils photo et leurs spécificités.

Les différents types d’appareils photo

Le compact ou « Point & Shoot »

Pinitappareil photo compact
Point & Shoot résume très bien l’intérêt principal de ces appareils photo : on « pointe » et on « shoote » (non ce n’est pas de la pétanque…). Tout est automatique, les photos sont faciles à réaliser.

Depuis quelques années, on trouve de très beaux appareils photos compacts qui offrent des résolutions très appréciables ! De plus, ces appareils photo offrent presque toujours une fonction vidéo, ce qui peut se révéler très intéressant pour ses souvenirs de vacances par exemple.

Ce sont donc des appareils adaptés aux photos « quotidiennes » pour lesquelles on ne souhaite pas se prendre la tête avec la photographie « artistique ». On pointe et on shoote et c’est tout !

Le bridge

Pinitappareil photo bridge
Comme le nom l’indique, les bridges font office de « pont », « passerelle » entre les compacts et les reflexs. Ils se rapprochent des compacts car la lentille ne peut être changée. Par contre, le bridge permet, tout comme le reflex, de régler soi-même les paramètres de la prise de vue. Certes, il existe un mode automatique, on peut également modifier les réglages principaux (ISO, temps d’exposition,…) grâce à un mode manuel unique.

C’est donc un pont parfait pour aller plus loin qu’un compact et savoir si l’on veut réellement se lancer dans la photographie. C’est un bon moyen pour apprendre petit à petit comment faire de la « vraie » photographie sans trop casser sa tirelire !

Le reflex

Le reflex est la dernière grande catégorie d’appareils photo. On y trouve les appareils photo professionnels mais heureusement aussi des appareils photo plus abordables au niveau prix ! Le reflex permet de contrôler tous les aspects de la prise de vue, grâce aux différents réglages manuels, mais aussi grâce aux différents types de lentilles interchangeables.

Pinitappareil photo reflex et lentille

Le passage d’un compact à un reflex peut être très simple si l’on reste en mode automatique. Mais c’est gâcher un très gros potentiel ! En lisant attentivement le manuel d’utilisateur de votre reflex ainsi que des articles sur internet, vous pourrez améliorer votre maîtrise de votre appareil et gérer de mieux en mieux la qualité et la composition de vos photos. Un véritable plongeon dans l’art de la photo !

Mon « ancien » appareil photo : un bridge qui me veut du bien

Et oui, mon premier appareil photo numérique, offert par mon père, était un bridge : le Kodak Easyshare Z812 IS (photo ci-dessous).

Pinitkodak easyshare Z812 IS
Avec une résolution de 8 MP, ce bridge était tout à fait raisonnable pour m’aider à apprendre la photographie. J’ai photographié tous mes bentos jusqu’à maintenant avec cet appareil photo, et je peux vous dire que je me suis bien améliorée depuis ma première photo ! Du tout automatique, je suis passée au mode manuel en apprenant la signification des différents paramètres que l’on pouvait maitriser. Une fois que vous maitriser le mode manuel et que vous souhaitez vous amuser un peu plus, le bridge devient vite limité.

Je vous parlerai donc de mon « nouvel » appareil photo dans un prochain article ainsi que les accessoires qui me permettent de faire de plus belles photos de mes bentos ;).

Et vous, qu’utilisez-vous pour photographier vos bentos (et tout le reste !) ?

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Comment choisir mon bento ? Le cas de Sophie

Pour inaugurer cette nouvelle section « Comment choisir mon bento ? », on commence avec le cas de Sophie qui souhaite se lancer dans les bentos sans trop dépenser. Voici son message :

Je voulais savoir, pour une femme d’1m 68, 58 kgs, avec un bon coup de fourchette, et un bon besoin d’énergie l’après-midi, vaut-il mieux prévoir 590, 700, 900 ml ? Les systèmes à 3 étages me plaisent bien mais je pensais aux modèles circulaires (en prendre 2 pour pouvoir adapter)… ou à un modèle avec séparateur amovible… que me conseillez-vous ?

C’est vraiment difficile de se lancer et de se décider quand on n’a jamais utiliser de bento et qu’on ne sait pas du tout quelle contenance est idéal pour chacun. On peut dire qu’en général, une femme peut utiliser un bento allant du plus petit (je dirais aux environs de 500 ml pour les moins gourmandes) jusqu’à 900 ml (les jours de très grosse faim, ou lorsque l’on a une salade). Mais quand, comme Sophie, on a un besoin d’énergie assez important, je dirai qu’un bento entre 700 et 800 ml (au grand maximum) est adéquat.
Les systèmes à 3 étages sont agréables à utiliser mais il n’existe à l’heure actuelle que 2 modèles pour Sophie : le bento colors de chez Bento&co que beaucoup connaissent (650 ml donc trop petit) ou le bento Ojue (aussi chez Bento&co), qui pourrait mieuxconvenir car sa contenance est d’environ 740 ml.

Cependant, quand j’ai lu le message de Sophie, j’ai tout de suite pensé à mon premier bento, le bento noir que j’utilise fréquemment. L’intérêt majeur de ce bento est qu’il entre dans la gamme de bentos que je recommande à Sophie (il fait 720 ml) et contient des séparateurs amovibles, idéal lorsque l’on débute et qu’on ne peut pas casser sa tirelire pour acheter à part des accessoires de bento.

J’avais acheté mon bento chez Komikku mais je ne sais pas s’ils le proposent encore. Toutefois, je sais qu’il est disponible chez Jbox, une boutique en ligne que j’ai pu tester avec mon bento rond noir, qui envoie rapidement le colis et dont le suivi de commande est exemplaire :
Bento Waon noir: ce bento répond aux critères de Sophie, il possède des séparateurs amovibles pour les deux compartiments du bento, mais surtout, il passe au micro-ondes et les baguettes, l’élastique et le sac de transport sont compris dans le prix. A moins de 20$, on peut donc débuter le bento sans se ruiner.

Mais tout le monde n’aimera pas le modèle noir, discret et certain(e)s préfèreront du kawai, du Hello Kitty ou du plus flashy, alors je vous montre aussi les autres modèles qui ont les mêmes spécificités que le bento Waon :

Le même mais en rouge : Bento Waon rouge

En plus kawai et mignon : Bento bleu lapin et lune avec un lapin et une lune sur un fond étoilé bleu.

Pour les fans de Hello Kitty, on a le même toujours le même modèle en rouge avec Hello Kitty en méga star : Bento Hello Kitty.

Et vous, que proposeriez-vous à Sophie ? Pensez-vous que ces bentos peuvent lui convenir ?

Pour voir le guide de contenance pour débutant et une autre étude de cas, n’hésitez pas à aller voir l’article : Choisir son Bento : le cas de Céline et guide de contenance pour débutant.

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Un nouveau bento rejoint ma petite famille ! Bento #67

Et oui, il y a quelques jours, j’ai reçu un colis tout droit venu du Japon. Ce n’est pas tous les jours que je trouve des colis dans ma boîte aux lettres et j’avoue que je deviens une petite fille devant ces cartons !

PinitUn colis est arrivé !
Un colis est arrivé !

Dans ce colis, vous imaginez bien ce qu’on peut trouver ! Un bento bien évidemment… Ce sera le cinquième bento de ma famille, très différent de ce que j’ai toujours utilisé. Je l’ai acheté chez jbox et vous pouvez trouver ce bento lapin en suivant ce lien.

PinitLe bento sorti du colis
Le bento sorti du colis

Pas de véritable nouveauté, c’est un bento qui existe depuis un petit moment dans les boutiques spécialisées… Mais j’avoue que j’ai craqué sur ce petit lapin sous la lune. N’est-il pas mignon ? En général, j’aime les bentos sobres, assez discrets, minimaliste. C’est pourquoi ce bento noir mais avec une touche minimaliste m’a toujours plu. Il suffisait d’attendre un peu avant de pouvoir se l’offrir ;).

PinitUn lapin sous la lune
Un lapin sous la lune

En plus, la forme inhabituelle me permet de changer mes habitudes. Ce bento est en forme de bol, ce qui permet de faire plus facilement des salades (habituellement difficiles à manger dans un bento carré). Cela peut sembler être de l’ordre du détail, mais il est vrai que les salades prennent beaucoup de volume et on ressort souvent de table en ayant encore faim. J’ai donc aussi voulu acheter ce bento en prévision des salades d’été que je fais souvent (prévoyante la petite…).

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Bento lapin

Ce bento lapin se décompose en deux compartiment. Le compartiment du bas est un « simple » bol pour mettre votre salade. En réalité, il ressemble aux bols utilisés pour le chirashi (que l’on trouve dans tous les restaurants japonais, qui correspond à des tranches de sashimi posées sur un bol de riz vinaigré). Au-dessus du bol se superpose le deuxième compartiment, qui permet d’avoir soit son dessert, soit un autre type de nourriture. Ce compartiment est lui-même divisé en deux parties, ce qui est très pratique. Ensuite vient se poser le couvercle pour refermer le tout.

A savoir impérativement, c’est le fait que ce bento est loin d’être étanche vu qu’il n’est qu’une superposition de compartiment. Donc pas de soupe même si le bol est très tentant pour cette usage (il vaut d’ailleurs mieux utiliser un bento thermos pour les soupes)…

J’ai donc tout simplement baptisé ce bento avec une salade. Quelle originalité me direz-vous ! Dans le grand bol, de la salade, des tomates cerise, de la mozzarella, des croûtons et un poisson de sauce vinaigrette. Dans le compartiment du dessus, une salade de kiwis d’un côté et de la crème au citron de l’autre.

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Bento #67

Le seul problème que m’a posé ce bento réside dans le volume alloué à la salade. Je m’explique… Quand vous préparez votre salade, il faut prévoir un espace minimum qui sera rempli par le compartiment supérieur (vous comprenez ?). En clair, ne jamais utiliser le volume du bento en entier ! J’ai un peu fait cette erreur et je me suis retrouvée à écraser (un peu) la salade pour que le compartiment du dessus trouve sa place. Un point délicat à ne pas négliger quand vous préparez votre bento !

Au niveau contenance, ce bento affiche un beau 600 ml ce qui correspond à un repas normal (éviter les jours de sport par exemple…). Le bol représente 350 ml et le compartiment du haut 250 ml.

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